Facebook
Twitter @https://twitter.com/milano_records
Facebook

/

/

/

/

/

/

/

/

/

/

Twitter @https://twitter.com/milano_records

Popincourt

photo : A. Marzeliere

“We Were Bound to Meet” est le 3è album de Popincourt et reste dans la continuité desprécédents : une (Power) Pop teintée de Jazz et de Soul, gorgée de choeurs, avec une grande variété de tempi et d’ambiances et une production contemporaine, directe et épurée. L’album comporte 10 titres dont 3 soutenus par de superbes arrangements de cordes écrits par Sébastien Souchois. Popincourt joue la plupart des instruments à l’exception de la batterie (Guillaume Glain) et du piano (Olivier Bostvironnois).

Le visuel de l’album réalisé par Serge Hoffman (French Boutik), influencé par l’esthétique Blue Note (et particulièrement “Happenings” de Bobby Hutcherson), reflète bien la ligne claire, positive, moderniste et pop désirée par le musicien.

Photos de Gérald Chabaud.

Popincourt "We Were Bound to Meet" Vinyle, CD

Interview sur Buzz On Web

« Ce n’est pas donné à tout le monde d’enregistrer un album qui passerait comme une lettre à la poste au milieu de ceux des Lotus Eaters, The Free Design, ou Roger Nichols And The Small Circle Of Friends. Avec ses suites d’accords cinq étoiles, ses arpèges de guitare en dentelle de Bayeux et ses arrangements grand genre, Olivier Popincourt livre un nouvel album d’une grande beauté, avec un personnel d’experts, et sur un label esthète d’utilité publique. La première vidéo, sur The Grass Of Winter Morning, montre une belle maison abandonnée. Popincourt prouve, face à l’urbanisation et aux préfabriqués à l’Auto-Tune, qu’on peut toujours construire en pierre de taille. »

Bertrand Burgalat

Popincourt ADSOA

« Après des années d’errance musicale collaborative, Popincourt s’est enfin décidé́ à graver dans l’histoire le fruit de ses compositions. Un univers Pop Rock savoureux, plein de fraîcheur et d’originalité, que l’on ressent particulièrement nourri des influences de ses idoles, Paul Weller en tête, mais également Ray Davies, Costello ou encore Joe Jackson. Et pourtant, cet univers qui aurait pu être profondément revival est étonnamment moderne. Les compositions d’une grande finesse et les arrangements toujours justes et efficaces sont servis par une très belle équipe de musiciens professionnels. » 

Auguste Marshal